Ces quelques
exemples de rapport rédigés durant la première année pourront
peut-être donner une petite idée du genre de travaux de base que le
topographe réalise (en fait c'est plutôt le technicien topographe qui
les réalise, mais un ingénieur doit savoir le faire également). Je me
contente de vous les proposer en téléchargement parce que certains
rapports sont imposants et la plupart utilisent des graphiques AUTO CAD et
WORD qui passent très mal en html. Si vous avez un dézippeur tel que
WINZIP, je vous conseille les formats compressés (.zip). Les rapports
sont au format WORD 2000 (si vous avez un problème de compatibilité pour
les lire, contactez-moi pour que je les enregistre au bon format).
J'en profite pour préciser que tous ces rapports sont
le fruit de la collaboration d'au moins 2 personnes, moi inclus. Donc
merci les copains de ne pas me demander de royalties pour la publication
de nos oeuvres d'art... :-)
 | Projet de Nivellement
: ce projet est réalisé en fin de première année et consiste en un
nivellement de repères disséminés dans la ville de Strasbourg. le
nivellement est une opération visant à déterminer l'altitude de
points donnés en les rattachant à d'autres points d'altitude connue
(en général, ce sont des repères dits IGN, du nom de l'organisme
national qui les a en charge, et qui se présentent comme des
cylindres de métal coulés dans un mur; plusieurs formes de repères
existent). |
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Ko)
 | Nivellement Indirect
: la finalité du TP est la même que pour un nivellement direct (cf.
Projet de Nivellement) mais la méthode est différente. Alors que
dans un nivellement direct on utilise un appareil appelé niveau,
ici on emploie un système un peu plus complexe appelé théodolite.
Le niveau n'a qu'un degré de liberté (il tourne dans le plan
horizontal), le théodolite en a deux (plans horizontaux et
verticaux). De plus le niveau ne mesure que des hauteurs alors que le
théodolite ne mesure que des angles. En résolvant un ensemble de
triangles dont trois données sont connues (2 angles et une distance
par exemple), on peut calculer des hauteurs. |
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Ko)
 | Cubatures
: le calcul de cubatures consiste à déterminer le volume de
matériau à déplacer ou en présence dans un lieu donné (exemple :
pour un chantier de terrassement, calcul du volume de terre à
déplacer pour déterminer le nombre de camion-bennes à utiliser).
Plusieurs méthodes sont envisageables. |
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Ko)
 | Contrôle de Stabilité
: c'est un TP représentatif du travail de surveillance que peut
assurer un géomètre-topographe. Ici, il s'agissait de calculer les
coordonnées 3D d'un sommet de clocher dans un repère prédéfini,
afin de les comparer avec des coordonnées antérieures. Une variation
importante de ces dernières, aux précisions de mesure près, permet
de suspecter un risque d'effondrement. Le rapport présenté ici est
incomplet, puisque la première partie (présentation du TP) n'a pas
été rédigée par mes soins. |
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Ko)
 | Courbes de Niveau
: le topographe doit être en mesure d'appréhender le terrain pour
mieux pouvoir le gérer. Cela passe entre autres par la détermination
des lignes ISOHYPSES ou lieux des points de même altitude (ce qu'on
appelle pour faire moins intello les courbes de niveau ou CN). Ce TP
présente succinctement le travail nécessaire à leur détermination
(en fait, le TP n'a jamais été terminé puisque les conditions
météorologiques ont fait planter les appareils de mesure (je vous
laisse deviner dans quel état étaient les opérateurs, sachant que
les appareils sont quand même robustes...); c'est pourquoi il y a une
partie du TP qui a été réalisée à l'école). |
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Ko)
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